Slow tourisme, une simple tendance ou une philosophie de vie ?

Le mode “slow” commence à entrer dans les différents aspects de nos vies, y compris le tourisme. Quand le slow tourisme devenait la pratique de plus en plus en vogue chez les voyageurs, la crise sanitaire l’a fait exploser. Il suscite un questionnement sur ce nouvel art de vivre le tourisme. S’agit t-il d’une simple tendance vouée à disparaître ou d’une pratique née d’une prise de conscience ?

Slow, de quoi parle-t-on?

Ce concept, venu d’Italie en 1986 sous le nom de slow food, s’est décliné au fil des années dans divers domaines : cosmétique, management, éducation… et tourisme. Participer au mouvement Slow, c’est calmer le rythme d’achat mené par la société de consommation depuis les 30 Glorieuses en menant un mode de vie en harmonie avec la nature, revenir aux plaisirs simples de la vie en se centrant sur les valeurs de l’authenticité, de l’amour et du partage. C’est donner la possibilité à la Terre de se ressourcer(1).

… et le slow tourisme?

En suivant ce phénomène, on constate qu’un slow tourisme correspond alors aux attentes de nombreuses personnes, d’autant plus qu’il est adapté à cette situation de restriction et de privation des déplacements. Le slow tourisme est un tourisme de proximité qui améliore le sentiment de bien-être, par le retour d’un mode de vie simple. Il s’agit d’un tourisme qui incite l’individu à prendre son temps pour apprécier l’expérience qui en découle. Une expérience du visiteur qui respecte le mode de vie de la population locale et va de pair avec les fondements du développement durable(2). Ainsi, vivre son expérience touristique se joue à un rythme lent, contribuant au ressourcement psychologique et physiologique(3) grâce à des micro-aventures, près de chez soi. La lenteur crée de la valeur. 

Cet art de vivre le tourisme consiste alors à se donner le temps d’apprécier la singularité de chaque territoire et de renforcer les liens avec les locaux. A l’instar du tourisme de masse, la découverte de sites peu fréquentés et l’inédit sont des aspects recherchés par les touristes.

(Re)découvrir ses alentours donne une seconde vie au tourisme, pour laquelle Les aventurines s’engage à faire découvrir à un grand nombre, ce nouveau mode de voyager. 

Alors, on bouge le monde ensemble? 

(1) https://slow-world.com/

(2) Hallem, Yousra, Jean-Michel Sahut, et Lubica Hikkerova. « Le « Slow tourisme » comme voie pour améliorer le sentiment de bien-être », Gestion 2000, vol. 37, no. 3, 2020, pp. 129-147.

(3) Isabelle Babou, Philippe Callot “L’avenir du tourisme à l’heure de la raréfaction du pétrole”.

Slow, de quoi parle-t-on?

Ce concept, venu d’Italie en 1986 sous le nom de slow food, s’est décliné au fil des années dans divers domaines : cosmétique, management, éducation… et tourisme. Participer au mouvement Slow, c’est calmer le rythme d’achat mené par la société de consommation depuis les 30 Glorieuses en menant un mode de vie en harmonie avec la nature, revenir aux plaisirs simples de la vie en se centrant sur les valeurs de l’authenticité, de l’amour et du partage. C’est donner la possibilité à la Terre de se ressourcer(1).

… et le slow tourisme?

En suivant ce phénomène, on constate qu’un slow tourisme correspond alors aux attentes de nombreuses personnes, d’autant plus qu’il est adapté à cette situation de restriction et de privation des déplacements. Le slow tourisme est un tourisme de proximité qui améliore le sentiment de bien-être, par le retour d’un mode de vie simple. Il s’agit d’un tourisme qui incite l’individu à prendre son temps pour apprécier l’expérience qui en découle. Une expérience du visiteur qui respecte le mode de vie de la population locale et va de pair avec les fondements du développement durable(2). Ainsi, vivre son expérience touristique se joue à un rythme lent, contribuant au ressourcement psychologique et physiologique(3) grâce à des micro-aventures, près de chez soi. La lenteur crée de la valeur. 

Cet art de vivre le tourisme consiste alors à se donner le temps d’apprécier la singularité de chaque territoire et de renforcer les liens avec les locaux. A l’instar du tourisme de masse, la découverte de sites peu fréquentés et l’inédit sont des aspects recherchés par les touristes.

(Re)découvrir ses alentours donne une seconde vie au tourisme, pour laquelle Les aventurines s’engage à faire découvrir à un grand nombre, ce nouveau mode de voyager. 

Alors, on bouge le monde ensemble? 

(1) https://slow-world.com/

(2) Hallem, Yousra, Jean-Michel Sahut, et Lubica Hikkerova. « Le « Slow tourisme » comme voie pour améliorer le sentiment de bien-être », Gestion 2000, vol. 37, no. 3, 2020, pp. 129-147.

(3) Isabelle Babou, Philippe Callot “L’avenir du tourisme à l’heure de la raréfaction du pétrole”.

Slow, de quoi parle-t-on?

Ce concept, venu d’Italie en 1986 sous le nom de slow food, s’est décliné au fil des années dans divers domaines : cosmétique, management, éducation… et tourisme. Participer au mouvement Slow, c’est calmer le rythme d’achat mené par la société de consommation depuis les 30 Glorieuses en menant un mode de vie en harmonie avec la nature, revenir aux plaisirs simples de la vie en se centrant sur les valeurs de l’authenticité, de l’amour et du partage. C’est donner la possibilité à la Terre de se ressourcer(1).

… et le slow tourisme?

En suivant ce phénomène, on constate qu’un slow tourisme correspond alors aux attentes de nombreuses personnes, d’autant plus qu’il est adapté à cette situation de restriction et de privation des déplacements. Le slow tourisme est un tourisme de proximité qui améliore le sentiment de bien-être, par le retour d’un mode de vie simple. Il s’agit d’un tourisme qui incite l’individu à prendre son temps pour apprécier l’expérience qui en découle. Une expérience du visiteur qui respecte le mode de vie de la population locale et va de pair avec les fondements du développement durable(2). Ainsi, vivre son expérience touristique se joue à un rythme lent, contribuant au ressourcement psychologique et physiologique(3) grâce à des micro-aventures, près de chez soi. La lenteur crée de la valeur. 

Cet art de vivre le tourisme consiste alors à se donner le temps d’apprécier la singularité de chaque territoire et de renforcer les liens avec les locaux. A l’instar du tourisme de masse, la découverte de sites peu fréquentés et l’inédit sont des aspects recherchés par les touristes.

(Re)découvrir ses alentours donne une seconde vie au tourisme, pour laquelle Les aventurines s’engage à faire découvrir à un grand nombre, ce nouveau mode de voyager. 

Alors, on bouge le monde ensemble? 

(1) https://slow-world.com/

(2) Hallem, Yousra, Jean-Michel Sahut, et Lubica Hikkerova. « Le « Slow tourisme » comme voie pour améliorer le sentiment de bien-être », Gestion 2000, vol. 37, no. 3, 2020, pp. 129-147.

(3) Isabelle Babou, Philippe Callot “L’avenir du tourisme à l’heure de la raréfaction du pétrole”.

Slow, de quoi parle-t-on?

Ce concept, venu d’Italie en 1986 sous le nom de slow food, s’est décliné au fil des années dans divers domaines : cosmétique, management, éducation… et tourisme. Participer au mouvement Slow, c’est calmer le rythme d’achat mené par la société de consommation depuis les 30 Glorieuses en menant un mode de vie en harmonie avec la nature, revenir aux plaisirs simples de la vie en se centrant sur les valeurs de l’authenticité, de l’amour et du partage. C’est donner la possibilité à la Terre de se ressourcer(1).

… et le slow tourisme?

En suivant ce phénomène, on constate qu’un slow tourisme correspond alors aux attentes de nombreuses personnes, d’autant plus qu’il est adapté à cette situation de restriction et de privation des déplacements. Le slow tourisme est un tourisme de proximité qui améliore le sentiment de bien-être, par le retour d’un mode de vie simple. Il s’agit d’un tourisme qui incite l’individu à prendre son temps pour apprécier l’expérience qui en découle. Une expérience du visiteur qui respecte le mode de vie de la population locale et va de pair avec les fondements du développement durable(2). Ainsi, vivre son expérience touristique se joue à un rythme lent, contribuant au ressourcement psychologique et physiologique(3) grâce à des micro-aventures, près de chez soi. La lenteur crée de la valeur. 

Cet art de vivre le tourisme consiste alors à se donner le temps d’apprécier la singularité de chaque territoire et de renforcer les liens avec les locaux. A l’instar du tourisme de masse, la découverte de sites peu fréquentés et l’inédit sont des aspects recherchés par les touristes.

(Re)découvrir ses alentours donne une seconde vie au tourisme, pour laquelle Les aventurines s’engage à faire découvrir à un grand nombre, ce nouveau mode de voyager. 

Alors, on bouge le monde ensemble? 

(1) https://slow-world.com/

(2) Hallem, Yousra, Jean-Michel Sahut, et Lubica Hikkerova. « Le « Slow tourisme » comme voie pour améliorer le sentiment de bien-être », Gestion 2000, vol. 37, no. 3, 2020, pp. 129-147.

(3) Isabelle Babou, Philippe Callot “L’avenir du tourisme à l’heure de la raréfaction du pétrole”.

Slow, de quoi parle-t-on?

Ce concept, venu d’Italie en 1986 sous le nom de slow food, s’est décliné au fil des années dans divers domaines : cosmétique, management, éducation… et tourisme. Participer au mouvement Slow, c’est calmer le rythme d’achat mené par la société de consommation depuis les 30 Glorieuses en menant un mode de vie en harmonie avec la nature, revenir aux plaisirs simples de la vie en se centrant sur les valeurs de l’authenticité, de l’amour et du partage. C’est donner la possibilité à la Terre de se ressourcer(1).

… et le slow tourisme?

En suivant ce phénomène, on constate qu’un slow tourisme correspond alors aux attentes de nombreuses personnes, d’autant plus qu’il est adapté à cette situation de restriction et de privation des déplacements. Le slow tourisme est un tourisme de proximité qui améliore le sentiment de bien-être, par le retour d’un mode de vie simple. Il s’agit d’un tourisme qui incite l’individu à prendre son temps pour apprécier l’expérience qui en découle. Une expérience du visiteur qui respecte le mode de vie de la population locale et va de pair avec les fondements du développement durable(2). Ainsi, vivre son expérience touristique se joue à un rythme lent, contribuant au ressourcement psychologique et physiologique(3) grâce à des micro-aventures, près de chez soi. La lenteur crée de la valeur. 

Cet art de vivre le tourisme consiste alors à se donner le temps d’apprécier la singularité de chaque territoire et de renforcer les liens avec les locaux. A l’instar du tourisme de masse, la découverte de sites peu fréquentés et l’inédit sont des aspects recherchés par les touristes.

(Re)découvrir ses alentours donne une seconde vie au tourisme, pour laquelle Les aventurines s’engage à faire découvrir à un grand nombre, ce nouveau mode de voyager. 

Alors, on bouge le monde ensemble? 

(1) https://slow-world.com/

(2) Hallem, Yousra, Jean-Michel Sahut, et Lubica Hikkerova. « Le « Slow tourisme » comme voie pour améliorer le sentiment de bien-être », Gestion 2000, vol. 37, no. 3, 2020, pp. 129-147.

(3) Isabelle Babou, Philippe Callot “L’avenir du tourisme à l’heure de la raréfaction du pétrole”.

Slow, de quoi parle-t-on?

Ce concept, venu d’Italie en 1986 sous le nom de slow food, s’est décliné au fil des années dans divers domaines : cosmétique, management, éducation… et tourisme. Participer au mouvement Slow, c’est calmer le rythme d’achat mené par la société de consommation depuis les 30 Glorieuses en menant un mode de vie en harmonie avec la nature, revenir aux plaisirs simples de la vie en se centrant sur les valeurs de l’authenticité, de l’amour et du partage. C’est donner la possibilité à la Terre de se ressourcer(1).

… et le slow tourisme?

En suivant ce phénomène, on constate qu’un slow tourisme correspond alors aux attentes de nombreuses personnes, d’autant plus qu’il est adapté à cette situation de restriction et de privation des déplacements. Le slow tourisme est un tourisme de proximité qui améliore le sentiment de bien-être, par le retour d’un mode de vie simple. Il s’agit d’un tourisme qui incite l’individu à prendre son temps pour apprécier l’expérience qui en découle. Une expérience du visiteur qui respecte le mode de vie de la population locale et va de pair avec les fondements du développement durable(2). Ainsi, vivre son expérience touristique se joue à un rythme lent, contribuant au ressourcement psychologique et physiologique(3) grâce à des micro-aventures, près de chez soi. La lenteur crée de la valeur. 

Cet art de vivre le tourisme consiste alors à se donner le temps d’apprécier la singularité de chaque territoire et de renforcer les liens avec les locaux. A l’instar du tourisme de masse, la découverte de sites peu fréquentés et l’inédit sont des aspects recherchés par les touristes.

(Re)découvrir ses alentours donne une seconde vie au tourisme, pour laquelle Les aventurines s’engage à faire découvrir à un grand nombre, ce nouveau mode de voyager. 

Alors, on bouge le monde ensemble? 

(1) https://slow-world.com/

(2) Hallem, Yousra, Jean-Michel Sahut, et Lubica Hikkerova. « Le « Slow tourisme » comme voie pour améliorer le sentiment de bien-être », Gestion 2000, vol. 37, no. 3, 2020, pp. 129-147.

(3) Isabelle Babou, Philippe Callot “L’avenir du tourisme à l’heure de la raréfaction du pétrole”.

Slow, de quoi parle-t-on?

Ce concept, venu d’Italie en 1986 sous le nom de slow food, s’est décliné au fil des années dans divers domaines : cosmétique, management, éducation… et tourisme. Participer au mouvement Slow, c’est calmer le rythme d’achat mené par la société de consommation depuis les 30 Glorieuses en menant un mode de vie en harmonie avec la nature, revenir aux plaisirs simples de la vie en se centrant sur les valeurs de l’authenticité, de l’amour et du partage. C’est donner la possibilité à la Terre de se ressourcer(1).

… et le slow tourisme?

En suivant ce phénomène, on constate qu’un slow tourisme correspond alors aux attentes de nombreuses personnes, d’autant plus qu’il est adapté à cette situation de restriction et de privation des déplacements. Le slow tourisme est un tourisme de proximité qui améliore le sentiment de bien-être, par le retour d’un mode de vie simple. Il s’agit d’un tourisme qui incite l’individu à prendre son temps pour apprécier l’expérience qui en découle. Une expérience du visiteur qui respecte le mode de vie de la population locale et va de pair avec les fondements du développement durable(2). Ainsi, vivre son expérience touristique se joue à un rythme lent, contribuant au ressourcement psychologique et physiologique(3) grâce à des micro-aventures, près de chez soi. La lenteur crée de la valeur. 

Cet art de vivre le tourisme consiste alors à se donner le temps d’apprécier la singularité de chaque territoire et de renforcer les liens avec les locaux. A l’instar du tourisme de masse, la découverte de sites peu fréquentés et l’inédit sont des aspects recherchés par les touristes.

(Re)découvrir ses alentours donne une seconde vie au tourisme, pour laquelle Les aventurines s’engage à faire découvrir à un grand nombre, ce nouveau mode de voyager. 

Alors, on bouge le monde ensemble? 

(1) https://slow-world.com/

(2) Hallem, Yousra, Jean-Michel Sahut, et Lubica Hikkerova. « Le « Slow tourisme » comme voie pour améliorer le sentiment de bien-être », Gestion 2000, vol. 37, no. 3, 2020, pp. 129-147.

(3) Isabelle Babou, Philippe Callot “L’avenir du tourisme à l’heure de la raréfaction du pétrole”.

Nos derniers articles

S'abonner
être averti(e)
guest
2 Commentaires
Le plus ancien
Le plus récent Le plus voté
Commentaires en ligne
Voir tous les commentaires
Van Thai
August 4, 2021 7:10 pm

Bel article qui explique la base du slow tourisme. Hormis la lenteur, il faut ajouter aussi vivre pleinement l’instant présent, la sérenpidité. Une autre chose, le slow ne se limite pas à la campagne, mais aussi en ville.